Il s’agit alors d’une véritable addiction, d’un passage à l’acte, d’une dépendance qui engage leur corps comme l’alcoolisme, la toxicomanie, les troubles du comportement alimentaire, ou des conduites à risques…
Réactivant les blessures oubliées de l’enfance, les malaises familiaux et les troubles de l’identité, ces addictions ont pour fonction inconsciente de travestir un manque fondamental originel en support identitaire, en appel de détresse ou en « mal dans la peau ». La peau devient le réceptacle de la souffrance psychique étouffée, le miroir d’une souffrance interne tournée vers le monde extérieur.