Le contexte actuel de restrictions créait un isolement et une souffrance chez les jeunes, ce qui les agresse et les déstabilise. Encore dépendant des adultes, ils sont actuellement davantage livrés à eux-mêmes, ne peuvent suivre les cours normalement, ne trouvent pas de travail ou même des jobs pour leur permettre de sortir de la précarité. Ces situations les poussent à des comportements violents : Ils perdent confiance en eux, ont une image d’eux-mêmes dévalorisée, se sentent dans l’insécurité et dans l’impuissance, sont angoissés, souffrent de troubles anxieux et de stress. Les plus fragiles s’adonnent à des addictions au jeux, à l’alcool ou à la drogue.
Cet environnement anxiogène peut entrainer des troubles de l’humeur, une surexitation, une tension motrice, des comportements agressifs, voire violents ou au contraire un découragement, une dépression pouvant aller jusqu’au suicide.