Par la méthode hypnotique, l’hypnothérapeute guide son patient au delà du conscient, dans un espace situé entre la veille et le rêve, pour recevoir les suggestions nécessaires à son mieux-être et accomplir des changements positifs, se transformer et se reconstruire.
Si une personne a vécu un traumatisme, souffre de phobie, d’addiction ou autre, le praticien l’aide par l’hypnose et ses voyages intérieurs, à comprendre la complexité de ses symptômes pour qu’elle s’en libère. Ainsi comprendre sa douleur, permet de mieux la gérer.
De part ma formation de psychologue clinicienne, de psychanalyste et ma longue expérience, je connais la psychopathologie et ses fondements. Lorsque je choisis d’associer l’hypnose à mon travail de psychothérapeute, c’est pour éliminer plus vite l’impact des symptômes sur la problématique du patient et lui permettre de lever les blocages, d’avancer dans sa vie personnelle, professionnelle, relationnelle et dans son travail psychothérapeutique. S’il ne dort pas, s’il ne va pas bien, s’il a perdu confiance en lui et a vécu un traumatisme, il faut, avec son avis, l’aider au plus vite à reprendre le cours de sa vie.
Avec le consultant, nous travaillons en collaboration afin qu’il accepte de se défaire de ses mauvais fonctionnements pour en adopter d’autres, plus adaptés à ses besoins et à sa santé psychique ou physique. Un travail de préparation l’aide à se renforcer et à supporter l’idée de ses changements.
Pour effectuer son travail, le praticien doit ressentir la confiance de son patient qui sait que sous hypnose, le conscient au repos continue à veiller et que la démarche hypnotique est le fruit d’un acte volontaire, non subie. Pour sa part, le praticien doit à son tour, avoir confiance à la capacité de changement du patient.